Des psychiatres veulent entrer dans World of Warcraft ! Génération Nouvelles Technologies évoque un article publié par le site anglais Telegraph :
"World of Warcraft, plus qu'un jeu, est un phénomène. Et qui n'intéresse pas uniquement les joueurs purs et durs, mais également ceux qui sont soucieux de la santé de ces derniers. Autrement dit, des psychiatres, qui veulent tenter l'expérience WoW pour mieux comprendre la dépendance qui peut en découler. L'addiction et le MMO sont des termes qui vont très bien ensemble. Malheureusement, serait-on tentés de dire, tant il conviendrait de rester le plus souvent possible dans le domaine du raisonnable afin d'éviter de regrettables écarts. Le jeu le plus surveillé à cet effet est bien évidemment le colossal (en termes d'impact) World of Warcraft. Mais comme on est plus ou moins assuré de connaître davantage son sujet en le vivant de l'intérieur, un psychiatre de Londres, le Dr. Richard Graham, aimerait user d'une "thérapie in-game", c'est-à-dire entrer lui-même dans le monde d'Azeroth afin de prodiguer des conseils aux personnes le nécessitant. "Nous lancerons le projet à la fin de l'année. Je pense qu'il est déjà clair que les psychiatres devront rester dans les paramètres du jeu. Ils n'erreront certainement pas en blouse blanche et devront utiliser les mêmes personnages mis à la disposition des autres joueurs." Le Dr. Graham n'a pas manqué de contacter Blizzard afin de demander à la société qu'elle baisse voire supprime ses frais d'abonnement pour l'occasion. Malins. Rassurés ? En théorie, ça ne semble pas être une mauvaise idée. Mais dans le jeu, et Richard le souligne, le psychiatre ne pourra pas exercer de la même façon qu'il le fait "dans le vie réelle". "Un problème que nous allons avoir à surmonter est que, bien qu'un psychiatre puisse exceller dans ce qu'il fait dans le monde réel, ils ne vont probablement pas être bons en jouant à World of Warcraft. Nous allons devoir travailler là-dessus si nous voulons communiquer avec ceux qui jouent au jeu pendant des heures au final." Le triste scénario serait que ces psychiatres, avec ces abonnements gratuits offerts par Blizzard qui leur donneraient encore moins de limites, deviennent à leur tour des addicts. Avouons que ce serait ballot, n'est-ce pas ?"
"World of Warcraft, plus qu'un jeu, est un phénomène. Et qui n'intéresse pas uniquement les joueurs purs et durs, mais également ceux qui sont soucieux de la santé de ces derniers. Autrement dit, des psychiatres, qui veulent tenter l'expérience WoW pour mieux comprendre la dépendance qui peut en découler. L'addiction et le MMO sont des termes qui vont très bien ensemble. Malheureusement, serait-on tentés de dire, tant il conviendrait de rester le plus souvent possible dans le domaine du raisonnable afin d'éviter de regrettables écarts. Le jeu le plus surveillé à cet effet est bien évidemment le colossal (en termes d'impact) World of Warcraft. Mais comme on est plus ou moins assuré de connaître davantage son sujet en le vivant de l'intérieur, un psychiatre de Londres, le Dr. Richard Graham, aimerait user d'une "thérapie in-game", c'est-à-dire entrer lui-même dans le monde d'Azeroth afin de prodiguer des conseils aux personnes le nécessitant. "Nous lancerons le projet à la fin de l'année. Je pense qu'il est déjà clair que les psychiatres devront rester dans les paramètres du jeu. Ils n'erreront certainement pas en blouse blanche et devront utiliser les mêmes personnages mis à la disposition des autres joueurs." Le Dr. Graham n'a pas manqué de contacter Blizzard afin de demander à la société qu'elle baisse voire supprime ses frais d'abonnement pour l'occasion. Malins. Rassurés ? En théorie, ça ne semble pas être une mauvaise idée. Mais dans le jeu, et Richard le souligne, le psychiatre ne pourra pas exercer de la même façon qu'il le fait "dans le vie réelle". "Un problème que nous allons avoir à surmonter est que, bien qu'un psychiatre puisse exceller dans ce qu'il fait dans le monde réel, ils ne vont probablement pas être bons en jouant à World of Warcraft. Nous allons devoir travailler là-dessus si nous voulons communiquer avec ceux qui jouent au jeu pendant des heures au final." Le triste scénario serait que ces psychiatres, avec ces abonnements gratuits offerts par Blizzard qui leur donneraient encore moins de limites, deviennent à leur tour des addicts. Avouons que ce serait ballot, n'est-ce pas ?"
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