Depuis plusieurs mois que je tiens ce blog, je vous informe de la publication de tout article concernant les dangers de l'addiction aux jeux vidéo en général, et à wow en particulier. Je crois qu'il est indispensable de connaître les arguments développés par les détracteurs de ce que nous percevons nous même comme une passion, et non pas une addiction, car nous devons rester lucides et vigilants sur des signes que nous ne percevons plus par manque de recul et qui révèlent parfois nos propres excès (désocialisation, refuge dans le virtuel, fuite des responsabilités irl, manque de sommeil, de concentration, etc).
Le site "Ere Numérique" a publié hier un nouvel article sur ce thème, dont je vous conseille la lecture :
"Le jeu vidéo a mauvaise presse. Accusés aussi bien d’être responsable du retard scolaire des enfants que d’inspirer les meurtriers en série, notre loisir favori est présenté comme un produit dangereux, accoutumant, nocif au même titre que l’alcool, le tabac et autres substances non-étiquetées faute d’avoir une existence légale. Nous faisons le point sur l’addiction au jeu vidéo, un sujet à la mode dans les médias grand public et les reportages souvent à sensation. Est-ce un mythe ou une réalité ? Un de mes collègues souvent en proie à des questions métaphysiques particulièrement profondes me demandait un jour : « Pourquoi tout ce qui est bon dans les plaisirs de la vie est systématiquement nocif ? ». C'est pas faux, comme on dit dans Kamelot. Le chocolat, le vin, le confit de canard, le foie-gras, les bonbons, tout le monde vous dira qu’effectivement chacun de ces petits plaisirs présente une part de nocivité. Après mûre réflexion, ma conclusion à ce sujet est la suivante. Dans l’excès, absolument tout est nocif, nous excédons simplement dans la consommation de ce que nous aimons. Voilà pourquoi tous les plaisirs de la vie nous apparaissent nocifs… Devrait-il en être autrement pour le jeu vidéo ? Cette philosophie de comptoir ne vous a pas convaincu ? Et pourtant, les nutritionnistes ventent les bienfaits du verre de vin rouge quotidien sur la santé, alors que l’on peut mourir en buvant trop d’eau. L’exemple qui me revient est malheureusement lié au jeu vidéo, enfin d’une manière un peu détournée quand-même. Vous vous souvenez sans doute de cette mère de famille morte en janvier 2007 pour avoir ingurgité trop d’eau lors d’un concours stupide en Californie dont le but était d’en boire un maximum pour gagner une Wii… Quant à l’addiction aux jeux vidéo, certains faits semblent alarmants. Des personnes sont mortes d’avoir trop joué. En 2002, un jeune homme de 21 ans s’est suicidé après avoir joué une semaine durant à Everquest. En Août 2005, un coréen de 28 ans est mort après avoir joué plus de 50 heures. En Septembre 2007, un homme de 30 ans est mort après avoir passé trois jours non-stop dans un cybercafé. Info ou Intox ? C’est toujours difficile à dire dans l’empire du milieu qui cherche par tous les moyens à contrôler l’accès de la population au contenu en ligne. On peut épiloguer sans fin sur la stupidité de certains actes, mais la surconsommation de jeu vidéo n’est pas bonne pour la santé, visiblement. Sans atteindre cet extrême, on peut vous citer plusieurs cas de personnes qui ont perdu leur emploi à force de trop nombreuses heures nocturnes de raid sous World of Warcraft ou de tuerie sous Counter Strike. Certains étudiants ont redoublé, préférant monter leur perso de Diablo II au level 20 plutôt que de monter leurs études au level 2. Bref, à des degrés divers, il est évident que l’abus de jeu vidéo n’est pas une bonne chose… comme tout abus en général." [Lire l'article...]
Notez qu'un autre article publié hier par CanardPC.com aborde le même thème...
"Le jeu vidéo a mauvaise presse. Accusés aussi bien d’être responsable du retard scolaire des enfants que d’inspirer les meurtriers en série, notre loisir favori est présenté comme un produit dangereux, accoutumant, nocif au même titre que l’alcool, le tabac et autres substances non-étiquetées faute d’avoir une existence légale. Nous faisons le point sur l’addiction au jeu vidéo, un sujet à la mode dans les médias grand public et les reportages souvent à sensation. Est-ce un mythe ou une réalité ? Un de mes collègues souvent en proie à des questions métaphysiques particulièrement profondes me demandait un jour : « Pourquoi tout ce qui est bon dans les plaisirs de la vie est systématiquement nocif ? ». C'est pas faux, comme on dit dans Kamelot. Le chocolat, le vin, le confit de canard, le foie-gras, les bonbons, tout le monde vous dira qu’effectivement chacun de ces petits plaisirs présente une part de nocivité. Après mûre réflexion, ma conclusion à ce sujet est la suivante. Dans l’excès, absolument tout est nocif, nous excédons simplement dans la consommation de ce que nous aimons. Voilà pourquoi tous les plaisirs de la vie nous apparaissent nocifs… Devrait-il en être autrement pour le jeu vidéo ? Cette philosophie de comptoir ne vous a pas convaincu ? Et pourtant, les nutritionnistes ventent les bienfaits du verre de vin rouge quotidien sur la santé, alors que l’on peut mourir en buvant trop d’eau. L’exemple qui me revient est malheureusement lié au jeu vidéo, enfin d’une manière un peu détournée quand-même. Vous vous souvenez sans doute de cette mère de famille morte en janvier 2007 pour avoir ingurgité trop d’eau lors d’un concours stupide en Californie dont le but était d’en boire un maximum pour gagner une Wii… Quant à l’addiction aux jeux vidéo, certains faits semblent alarmants. Des personnes sont mortes d’avoir trop joué. En 2002, un jeune homme de 21 ans s’est suicidé après avoir joué une semaine durant à Everquest. En Août 2005, un coréen de 28 ans est mort après avoir joué plus de 50 heures. En Septembre 2007, un homme de 30 ans est mort après avoir passé trois jours non-stop dans un cybercafé. Info ou Intox ? C’est toujours difficile à dire dans l’empire du milieu qui cherche par tous les moyens à contrôler l’accès de la population au contenu en ligne. On peut épiloguer sans fin sur la stupidité de certains actes, mais la surconsommation de jeu vidéo n’est pas bonne pour la santé, visiblement. Sans atteindre cet extrême, on peut vous citer plusieurs cas de personnes qui ont perdu leur emploi à force de trop nombreuses heures nocturnes de raid sous World of Warcraft ou de tuerie sous Counter Strike. Certains étudiants ont redoublé, préférant monter leur perso de Diablo II au level 20 plutôt que de monter leurs études au level 2. Bref, à des degrés divers, il est évident que l’abus de jeu vidéo n’est pas une bonne chose… comme tout abus en général." [Lire l'article...]
Notez qu'un autre article publié hier par CanardPC.com aborde le même thème...
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